Les quotidiens marocains parus ce lundi se focalisent sur nombre de sujets notamment les relations entre le Maroc et les Etats-Unis et la problématique du chômage.
+Aujourd'hui le Maroc+ aborde les relations entre le Maroc et les Etats-Unis. Depuis le départ de l’ancien diplomate en janvier 2017, il y a presque un an et demi, les Etats Unis d’Amérique « n’ont officiellement pas encore d’ambassadeur au Maroc », constate le journal, se disant "étonné à plusieurs titres d’ailleurs".
D’abord parce que les relations diplomatiques entre les deux pays sont parmi les plus anciennes de Washington, ensuite, parce que le Maroc est le seul pays de la région et du continent qui a osé un accord de libre-échange avec les USA et que la gestion d’un tel accord et des affaires qui en découlent suppose « une présence diplomatique renforcée et en continu ».
De même, et c’est le plus important, la présence américaine au Maroc dans le domaine du business est imposante, ajoute-t-il.
+Al Alam+ revient sur la problématique du chômage au Maroc. La publication estime que malgré l’amélioration des indicateurs macroéconomiques, tels que mis en exergue dans de récents rapports internationaux, et malgré le développement de l’infrastructure et l’amélioration majeure de la production agricole, « le marché du travail n’est pas en mesure d’assimiler les demandes d’emploi ».
D’où l’impératif d’adopter une politique publique qui « établirait les ponts entre l’amélioration des indicateurs économiques et l’évolution des aspects de la vie quotidienne au profit des citoyens », suggère-t-il, appelant « l’Exécutif à prendre ses responsabilités pour créer les conditions permettant aux citoyens de bénéficier de ces indicateurs ».
+Le Matin+ rapporte que le Chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani, est arrivé dimanche à Brasilia pour prendre part aux travaux de la 8-ème édition du Forum mondial de l'Eau.
Le chef du gouvernement devrait remettre le Grand Prix Mondial Hassan II pour l'eau au vainqueur de sa 6-ème édition organisée sous le thème "œuvrer pour plus de solidarité et d’inclusion afin d’assurer la sécurité hydrique et la justice climatique.
Ce Grand Prix mondial a été créé à l’initiative commune du Conseil Mondial de l’Eau et du Royaume du Maroc en 2000, en mémoire à Feu SM le Roi Hassan II, et en reconnaissance de sa politique clairvoyante en matière de coopération et de solidarité en faveur de la préservation et de la gestion durable des ressources en eau.
